Près de Kharkiv, 20 minutes dans un village sous le feu de l'artillerie russe
"Peut-être doit-on partir? C'est comme ça qu'on vit, en courant vers nos caves", souffle Laryssa Kossynets, infirmière à la retraite de 57 ans et fermière, alors que des obus russes commencent à tomber sur son village, à une trentaine de kilomètres de Kharkiv.