Les agents pénitentiaires, sceptiques face aux promesses, poursuivent la mobilisation après l'attaque du fourgon
A Caen, le centre pénitentiaire où étaient basées les victimes était bloqué depuis 6H30 par des palettes et une quarantaine d'agents. A Caen-Ifs, à l'autre bout de la ville, près de 70 agents faisaient brûler des pneus et les visages restaient fermés, marqués par le deuil et la fatigue.
"L'accueil