1er Mai sous surveillance : «les drones ne peuvent pas devenir un outil ordinaire de gestion de l'ordre public»
A Paris, Lyon ou encore à Bordeaux, les préfectures ont annoncé le déploiement de drones pour «sécuriser» les manifestations du 1er mai. Paul Cassia, professeur de droit public à Panthéon Sorbonne, explique en quoi l'usage des drones est «attentatoire à une série de libertés».