Un jardin protégé avec des arbres centenaires menacé par un chantier qui en a fait une zone de stockage
Si Bonaparte voyait ce jardin, dans la rue qui porte son nom, carré de verdure où il se promena durant neuf mois, en 1794, il lui ferait peut-être penser à la triste campagne de Russie. La Bérézina… Sauf que là, on ne pleure pas des milliers de soldats morts, mais on craint pour les arbres. Séculair