Marine Calmet : « Reconnaître des droits à la nature, c'est amorcer une révolution démocratique pour représenter les intérêts non humains »
Notre droit n'est pas apte à faire face à la destruction du vivant, affirme la juriste, qui revient, dans un entretien au « Monde », sur les entités naturelles – fleuve ou parc – reconnues en tant que personnalité juridique.