Les plaies du passé colonial français refont surface à Avignon
Dans la première histoire, c'est le père tunisien qui a été rayé de la carte familiale, dans la deuxième, c'est le grand-père algérien. A Avignon, deux pièces coup de poing, l'une autobiographique, l'autre fictive, mêlent l'intime et le politique pour raconter comment des traumatismes historiques...