« Ramener la crise environnementale à notre cerveau, c'est déguiser de l'idéologie politique en vulgarisation scientifique »
CHRONIQUE. La destruction de l'environnement relève avant tout de choix politiques, et n'a pas grand-chose à voir avec les afflux de dopamine dans le cortex des individus, dénonce dans sa chronique Stéphane Foucart, journaliste au « Monde ».