«Je ne voyais pas beaucoup d'exemples de femmes aux cheveux courts»
Qu'on les chérisse ou qu'on les haïsse, qu'ils soient moqués ou admirés, les cheveux, c'est une sacrée affaire. Parce qu'ils contribuent à faire de nous ce que nous sommes, «Libération» leur consacre une chronique. Aujourd'hui, une designer de 27 ans qui souhaite rester anonyme.