« Il était derrière les fourrés, nu comme un ver, et ne me quittait pas des yeux »
Dorothée n'empruntera plus ce chemin qu'elle aime tant fouler baskets au pied. Du moins plus pour l'instant. Le souvenir de la rencontre qu'elle y a faite jeudi, à la mi-journée, est encore trop présent. « Je courais aux Argales comme je le fais régulièrement sur les chemins situés côté...