#EtAprès. Enjoindre à l'État de garantir un "droit à la vie", c'est exiger qu'il nous empêche de mourir
Les recours qui se multiplient dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire se fondent sur un droit à la vie, et non plus seulement un droit à la santé. Une surenchère qui montre ses limites, y compris sur nos libertés, estime Anne Levade.