En Arménie, «l'usage de la force n'est plus possible, il y a trop de monde»
Une capitale barricadée, des klaxons qui résonnent en permanence, des voitures qui déboulent dans les avenues à toute vitesse, et la police qui observe, voire approuve, les actions des manifestants par un sourire ou un petit geste de la main. Depuis lundi et la démission forcée du Premier...