Amie d'une victime de l'attentat de Strasbourg, elle avance cahin-caha, avec des mots
Elle n'a pas été blessée dans sa chair par Cherif Chekatt mais un an après, Claire Audhuy, qui a perdu son ami Bartek dans l'attentat de Strasbourg, en porte encore les stigmates et met en mots -poétiques- le choc, le deuil, l'après.